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  1. Créé par Kathy BERNAERTS
  2. Le 11/07/2023
  3. 18192021Dans Services Évaluation Via email Belgique

Listing details

Organisation : Quinoa
Estimated amount of the contract : 45000 euros
Public markets : oui
Period of execution : 15/09/2023 au 31/12/2024
Publication date : 11/07/2023
Submission deadline : 15/09/2023
Contact person : kathy.bernaerts@solidagro.be

Market summary

En quoi notre approche et notre pratique de renforcement et de soutien des mouvements sociaux contribue-t-elle à la réalisation des objectifs du programme commun?

Pour le consortium FIAN-Quinoa-Solidagro-VivaSalud, le changement de système ne peut s’opérer sans l’action de mouvements sociaux qui mettent en place des alternatives, portent des revendications politiques et sont un contre-pouvoir efficace. Ils sont les représentant·e·s légitimes des populations affectées par les acteurs (étatiques ou non étatiques qui ne respectent pas les droits humains) et sont les acteur.rice.s de base d’un changement de système plus juste. L’action des mouvements sociaux, la mobilisation et la participation des citoyen·ne·s aux actions collectives et alternatives proposées se renforcent mutuellement et augmentent ainsi la pression sociale.

Travaillant toutes et tous conjointement à cet objectif et contribuant à cette vision, nous voulons que l’évaluation mi-parcours puisse:
· Évaluer nos pratiques avec les mouvements (Sont-elles efficaces? Créent-elles du changement?)
· Nourrir l’apprentissage et renforcer ces pratiques avec ces mouvements afin d’être plus efficace et efficient.
· Confirmer que ce travail contribue au changement recherché par l’outcome.

En développant des grilles de questions propres à chaque groupe cible (staff Belgique, bureaux locaux, organisations partenaires), l’évaluateur.trice devra être capable de pouvoir nous donner une évaluation, des conclusions et des recommandations des thèmes et sous-questions suivantes dans une optique de renforcement de la qualité et de l'impact de notre programme commun.

Summary of the expectations of the providers

Résultats attendus

1.        Méthodologie


Il a été décidé d'utiliser deux méthodologies différentes requérant deux accompagnements différents, néanmoins l'objectif général recherché pour toute l'évaluation reste commun.

A côté du fait que nous aimerions avoir l’avis d’une personne externe et neutre sur notre programme, nous voudrions également que cette évaluation permette aux staffs d’apprendre à évaluer un projet, à découvrir la réalité de terrain des autres membres du consortium et partagent leurs connaissances avec ces derniers dans le cadre de ce que nous appelons les « évaluations croisées ».
Concrètement, nous voudrions réaliser des évaluations externes dans 3 pays (la Belgique, le Mali et Burkina Faso) et des évaluations croisées dans 5 pays (Bolivie, Palestine, Philippines, RD Congo et Sénégal).

 

Evaluation externe / croisée

Pays

Evaluation externe
(= Pour des raisons de sécurité, les évaluations pour le Burkina Faso et le Mali peuvent se faire sans visite sur place)

  • Belgique
  • Burkina Faso
  • Mali

Evaluation croisée
(= réalisée par des collègues avec accompagnement externe)

  • Bolivie
  • Palestine
  • Philippines
  • RD Congo
  • Sénégal

 

Toute l’évaluation - attente du rôle de l’évaluateur.trice:

Nous voudrions que l’évaluateur.trice mette en place une méthode participative, tant avec les organisations partenaires que les bureaux locaux et le staff qui travaille depuis la Belgique.

Les détails pratiques et les modalités (questionnaires, entretiens,…) seront co-construits avec les organisations et les équipes sur place, en fonction des besoins et des réalités de terrain.

 

Il faudra tenir compte de plusieurs paramètres :

•     l’ampleur:  évaluations externes dans 3 pays et évaluations croisées dans 5 pays

•     la durée : de septembre 2023 à décembre 2024 (avec des périodes plus creuses)

•     la diversité : la coordinatrice du programme commun, Kathy Bernaerts, sera l’interlocutrice principale, mais l’accompagnement des évaluations croisées sera également mises en œuvre avec la collaboration d’autres staffs.

•     les langues : le français et le néerlandais pour collaborer avec les équipes de FIAN, Quinoa, Solidagro et Viva Salud et bien comprendre les documents liés à notre programme commun, l’anglais pour l’évaluation des Philippines et la Palestine.

•     Le contexte spécifique des différents pays

 

La proposition de services de l'évaluateur.trice devra prendre en compte ces différents aspects et indiquer comment il.elle compte s’y prendre.
 

L’évaluation croisée - attente du rôle de l’évaluateur.trice:

Nous voudrions que certaines évaluations soient menées par des staffs du consortium (tant Belgique que représentants locaux). L’évaluateur.trice externe ‘coachera’ les personnes y participant.
 

Cela permettra de:

•     faire connaître à ce.tte collaborateur.trice (et donc à son organisation) les pratiques sur le terrain d’une autre organisation du consortium

•     accompagner les collaborateurs.trices et expérimenter les pratiques dans un autre contexte

•     former le.la collaborateur.trice aux techniques d’évaluation grâce à l’accompagnement réalisé par l’évaluateur.trice externe (formation – accompagnement – débriefing)

 

Afin que ce processus ne nuise pas aux pays qui auront bénéficié d'une évaluation croisée plutôt qu’externe, la formation et l’accompagnement par l’évaluateur.trice des évaluations croisées sont primordiaux.

De plus, l’évaluateur.trice externe veillera à donner la même place aux différents pays dans son rapport, peu importe par quelles méthodes ils auront été évalués. L’évaluateur.trice externe prendra la responsabilité de toutes les évaluations, qu’elles aient été réalisées directement par lui.elle-même ou un.e staff du consortium et validera leur contenu dans son rapport final.

 

Publics

Le public majoritairement ciblé par ces évaluations est le mouvement social tel que défini largement par le programme.
Nous entendons par mouvement social un regroupement d'organisations sociales et/ou d'acteurs sociaux et/ou d’individus engagés, caractérisé par des valeurs communes et par la volonté d'agir ensemble pour la défense d'une cause d'intérêt général.

Néanmoins, il est demandé aux évaluateurs.trices d’être propositionnel.le.s et toute autre personne ou partie prenante jugée pertinente pourra être consultée. Les organisations s’engagent à fournir les contacts nécessaires. Ex.: autorités locales.

2.        Rapport Final


La partie générale et les parties pays de la Belgique, Mali et Burkina Faso seront rédigées par l’évaluateur.trice externe.

Les parties pays de la Bolivie, de la Palestine, des Philippines, du Sénégal et de la RD Congo seront rédigées principalement par le staff de Solidagro et Viva Salud réalisant les évaluations croisées sous la supervision de l’évaluateur.trice externe qui en assumera la responsabilité finale.


Partie générale

•     Une table des matières

•     Une synthèse de maximum 4 pages (pouvant être utilisée comme document indépendant)

•     Introduction qui comprend les objectifs de l'évaluation, l'approche, les techniques utilisées et les limites de l'évaluation, le cas échéant

•     Les leçons apprises

•     Les conclusions et recommandations avec une relation claire entre les deux par rapport à notre travail avec les mouvements sociaux

•     Annexes
 

Par pays/outcome

•     Une liste des abréviations

•     Une synthèse de maximum 1 page (pouvant être utilisée comme document indépendant)

•     Une évaluation donnant clairement une réponse aux questions d'évaluation

•     Les leçons apprises

•     Des conclusions liées à des recommandations propres à chaque pays

•     Une pratique innovante, reproductible, qui stimulerait le travail des bureaux locaux et des organisations partenaires dans les autres pays

  1. Créé par Rudi COEL
  2. Le 03/07/2023
  3. 181921Dans Diensten Consultancy België

Listing details

Organisation : Oxfam-Solidariteit
Estimated duration : 100 jours
Period of execution : 18/08/2023 au 30/11/2023
Publication date : 03/07/2023
Submission deadline : 07/08/2023
Contact person : OBE.TENDER@oxfam.org

Market summary

NTRODUCTION

CCF, CCFD Terre Solidaire, Food Watch, Oxfam-Solidariteit, SOS Faim and Woord en Daad, hereafter the Coalition, launch an Invitation to Quote (IQ) for a state of the art on food price speculation

The quote must arrive at latest on 7th of August 2023 midnight CET and stay valid until 18th of August 2023 midnight CET.

The Invitation to Quote (IQ) is structured as follows:

  1. Terms of reference
  2. Submission procedure
  3. Decision procedure

The consultant’s quote could form the basis for a contract between him and the Coalition. However, this invitation to quote does not obliges the Coalition to proceed with the actual act of purchasing. No compensation can be claimed in case of non-acceptance of a quote or non-award of a contract.

Oxfam Solidariteit’s General Purchase Conditions apply. If there is an inconsistency between any of the provisions of these Conditions and a particular provision in the IQ or a contract then the provision in the IQ or the contract will prevail.

1.    TERMS OF REFERENCE


1.1.    BACKGROUND

The Coalition seeks to understand the mechanisms behind food price speculation and the impact speculation on the financial markets has on the price and price volatility of basic food products.

The deregulation of financial markets has increased since 2000. After 2008, new regulations on commodity derivatives markets were put in place, but partly dismantled during deregulation in times of the covid-19 pandemic. Since then, many new big commercial and financial players are participating in the food markets. Financial speculation on commodity derivatives markets (especially futures trading on exchanges) is seen as driving up food price volatility and food prices by a number of scholars. On the other side, this vision is contested by influential institutions (such as FAO, IFPRI, and others), maintaining that speculators are necessary to maintain liquidity in the market to, hedge risks, and based on their analyses show there is no / not sufficient causality between speculation and higher food prices. Others do not agree with this (including UNCTAD), stating that essentially there is now too much liquidity in the market driving up prices, and regulation is much needed.

Considering that food price speculation is complex due to the multiple financial products and actors it involves such as traders, investors, speculators, governments and the different interests and motivations at hand, we realise it makes it quite difficult to regulate but also makes it difficult for advocacy organisations to target the right policy making processes at the right time and with the right decision makers.

 
1.2.    PURPOSE AND OBJECTIVES OF THE RESEARCH

Considering the complexity of the matter, the lack of a coordinated coalition of NGOs following closely food price speculation in the context of the MIFID, the war in Ukraine and the inflation, the Coalition is looking for a consultant to produce a state-of-the-art report on food price speculation, that will provide the Coalition with an overview of existing literature, synthesise the content of the said literature and share the most relevant conclusions considering today’s current global food crises and our focus on the right/access to food for all.

With this study the Coalition wants to ultimately contribute to the public debate and put the need for regulation higher on the political agenda, through:
1.    Achieving a better understanding of the basics of food price speculation, what their role is in price setting and to price crises in the past and what is driving them today (see questions).
2.    Inform and build capacity within civil society in order to enable them to formulate a new angle of advocacy and ultimately put the regulation of food speculation higher on the political agenda. 
3.    Point out what additional research can be conducted to contribute to the public debate, possibly in the different countries of the Coalition (NL, BE, FR) if major variations are noticed (i.e. be ‘newsworthy’ for media-outlets).

Summary of the expectations of the providers

1.3. Questions
The state of the art should enable the Coalition to answer the following questions
a) Which food and agricultural commodities markets are most concerned by speculation issues ?
b) Which mechanisms are behind food speculation, what are the market fundamentals? How does speculation provide liquidity, risk management, and price discovery? Does it hedge against risks for farmers?
i) What are the impacts of the financialization of that mechanism? If we want to challenge the alleged scientific consensus that there are no indications of excessive speculation of food commodities, we should examine the models underlying those articles and point out where they are flawed.
ii) On what fundamentals and other criteria are commodity derivatives prices (assumed to be) determined in general? How far does this reflect good price discovery? What was the availability of information about key commodity reserves? Based on what fundamentals has there been such price volatility?
c) The multiple actors involved in speculating and their contribution to food price crises.
i) What do financial institutions, such as hedge funds, have to report to Authorities for the Financial Markets? What are their formal obligations and how do they informally deal with it?
ii) How do the financial subsidiaries of the traders operate? Is it possible to distinguish how much of the traders’ profit is made by their financial activities vs. material trade? (quite possibly hard to find the information, which in itself shows the need for more transparency)
d) Existing international,(national and regional) regulation trying to prevent (excessive) food speculation, among others: the MIFID process, what is at stake, what is possible to regulate.
e) Identify existing and potentially relevant fora on food speculation issues: national/European level; G20; OECD; Global WTO
f) The interconnectedness between financial and physical markets: the link between financial and commodity markets, how changes in one market influence the other, and what the role/impact financialisaton of the food system has.
g) Explain the relationship between stocks (public and private), (the WTO position on the matter) and whether/how it influences speculation
i) Is the increase of public stock a solution to limit or regulate speculation?
h) The available and non-available Information: food speculation is often associated with opaque, asymmetrical information availability when it comes to proving its impact on food prices, but also when it comes to its main actors: some speculators/market actors have more access to information than others and might lead to unfair trading practices, how is that possible, and what can we do about it?
i) The (potential) impact of food speculation on food prices and food security, especially in the global south.

1.4. Key products and deliverables
A report of approx. thirty pages, excluding annexes, with the state of the art on food speculation with the following structure: The What, The Who and The How?
1. Context of food price crises
2. What is food speculation? The distinction between hedging and speculation for commercial actors and why the distinction in the markets is not so clear.
3. Who does ‘excessive( speculation ? which EU Bank/ investors are proposing investment funds exposed to index funds on food/commodities.
4. What regulation mechanisms (margin deposit, margin cost, limit position) exist on the European market ? Are there good practices in other regions or in the past that can inspire better regulation in the EU?
5. What do we know about the impact on food prices, food security especially in the global south and what don’t know we about it and what cannot be proven and why?
6. Suggestion/advice on additional research that (within the budget) can be undertaken to publish a new report on food price speculation that will attract media-attention, for example:
a. price and market-volatility on a particular commodity (that is not yet covered in the current literature) after the start of the Russian invasion in Ukraine.
b. After the 2022 Q1 bubble, prices stabilised somewhat. That suggests that there are also investors that lost big. Can we contact one of them, hear their experience? Would that be of value? If you take that side path, you do not only indicate that speculation on food commodities is unethical, but that it is also unwise and risky! This is also one of Ann Pettifor’s strategies in Great-Britain, telling the public that their pension funds are gambling with their money.


1.5. Methodology
Mainly desk review. thirty (30) pages. A Coalition Steering committee will suggest materials and contacts and a methodology, which has to be validated with the  consultant. The steering committee would appreciate the consultant working on a shared document to facilitate following up the process, with fixed moments of feedback.

  1. Créé par Lorraine JACOB
  2. Le 29/06/2023
  3. 18192021Dans Services Consultance Via email Belgique

Listing details

Organisation : Memisa
Estimated duration : 10 jours
Estimated amount of the contract : 4500 euros
Period of execution : 15/09/2023 au 30/10/2023
Publication date : 29/06/2023
Contact person : Jean-Clovis Kalobu

Market summary

  1. Type de service

Formation et facilitation

  1. Contexte et Justification

Memisa est une organisation non gouvernementale (ONG) médicale belge de coopération au développement. Nous luttons pour un accès aux soins de santé pour toutes et tous, particulièrement pour les plus vulnérables. Memisa est présente dans les pays suivants :

  • Belgique
  • Mauritanie
  • Guinée
  • Bénin
  • République Démocratique du Congo
  • Burundi
  • Inde

La coopération internationale est un secteur fortement impacté par le passé colonial. En partant de la considération que la déconstruction de l’héritage colonial est un processus et un apprentissage permanent, nous trouvons important de créer des espaces d’échanges, de réflexions et de négociations réguliers entre le siège basé à Bruxelles, les équipes de terrain, les partenaires de mise en œuvre et la population cible de nos actions. Nous estimons nécessaire d’analyser nos pratiques, stratégies et approches et de les changer si nécessaire, pour les adapter afin qu’elles contribuent toujours plus à un monde juste, durable et inclusif. A cette fin MEMISA a créé en fin 2021 une Task Force Décolonisation/Partenariat équitable qui, en interne, travaille sur ces sujets.

  1. Objectifs attendus

Objectif Général : 

Renforcer les compétences en interne en matière de partenariats équitables et décolonisation.

Objectif Spécifique 1 :

Développer une note stratégique “partenariat équitable/décolonisation” MEMISA

Objectif Spécifique 2 :

Elaborer des nouveaux outils qui seront utilisés pour analyser l’approche de MEMISA et pour réaliser des activités futures favorisant la prise de parole de toutes les parties prenantes sur le terrain, notamment au cours des ateliers dans les pays d’intervention, l’évaluation et la proposition des suggestions pouvant servir lors de la mise à jour de sa politique de partenariat. 

  1. Méthodologie

Nombre de participants : de 15 à 20 participants

8 demi-journées d’ateliers participatifs réparties sur 2 mois.

Méthodologie utilisée :

Il est attendu que la formation se fasse selon une méthodologie constructiviste, fondée sur le travail de groupe. Le parcours proposé devra prendre en compte la complexité de l’organisation et du secteur pour définir un cadre d’intervention et consolider la stratégie de MEMISA. Nous proposons d'adapter l’approche par niveaux : individuel, interpersonnel, groupal, organisationnel, institutionnel (J. Ardoino 2004). Les outils seront proposés, adaptés et partagés pendant l’atelier. La formation se concentrera surtout sur les aspects opérationnels de l’intégration de l’approche décoloniale dans le programme Memisa, et non uniquement sur des concepts théoriques et sur la réflexion sociétale. Nous souhaitons un travail par projets, dans lequel le transfert opérationnel, prévu dans les méthodologies constructivistes, pourra être réalisé.

Les ateliers devront être construits autour de la thématique du partenariat équitable et de la décolonisation dans le secteur de la coopération au développement, et spécifiquement dans le secteur de la santé.

Les documents de référence sont :

  • Le programme Memisa 2022-2026, en particulier le programme de Memisa en RDC
  • Partenariat et interventions en contexte de fragilité. Document stratégique Memisa. (26/06/2014)
  • La recherche Shift the Power, commandité par 11.11.11, NGO Federatie et ACODEV
  • La décolonisation c’est maintenant ! Guide pratique d’inspiration pour une collaboration internationale équitable (11.11.11 et NGO Federatie)

Il est attendu que le/la formateur/trice prenne connaissance de ces documents/outils à l’avance et prépare les demi-journées de formation au préalable afin de proposer des outils adaptés.

 

Summary of the expectations of the providers

  1. Résultats Attendus

R1 : Le draft d’une note stratégique “partenariats équitables/décolonisation” pour Memisa est proposé

R2 :  Les participants ont acquis les compétences clés afin de répliquer les formations à leurs pairs lors des missions/ateliers/échanges et d’intégrer les outils et connaissances appris dans leur travail au quotidien

R3 : Les modules complets de formations sont créés et mis à disposition de Memisa

R4 : Les activités 2023 et/ou 2024 sont examinées avec les outils de la formation ; les activités 2025 sont programmées grâce aux outils de la formation.

  1. Livrables
  • Matériel de formation (présentations PowerPoint et outils d’évaluation)
  • « Trousses » d’outils pour tous les participants
  • Un rapport de réflexion (format libre, maximum 15 pages) sur l’activité à l’attention de la direction de Memisa
  • Note stratégique “partenariats équitables/décolonisation” pour Memisa
  • Un rapport narratif sous le format fourni par Memisa
  • Une présentation orale en fin de formation des outils/concepts travaillés.

Les livrables doivent être remis à Memisa au plus tard 10 jours calendrier après le dernier atelier de formation prévu.

Memisa remettra ses observations maximum 15 jours calendrier après avoir reçu les livrables.

La dernière version des livrables, pourra dès lors être remise à Memisa pour validation. 

  1. Organisation et Calendrier

Les demi-journées des ateliers doivent se planifier en coordination avec Memisa.

Logistique :

Le lieu de formation sera mis à disposition par Memisa.

Du matériel audio-visuel (Télévision et/ou projecteur) sera mis à disposition par Memisa.

Tout autre matériel devra être prévu par le.a consultant.e.

Durée de la formation :

8 demi-journées et une séance de restitution, en plus deux demi-journées de préparation/rédaction (plus si estimé nécessaire).

10 jours complets de travail au total.

  1. Budget

Le budget prévu pour ce service est de maximum 4500 euros, tous frais et taxes inclus.

20% de la rémunération se fera 10 jours ouvrables après signature du contrat.

80% de la rémunération se fera 10 jours ouvrables après validation des livrables par Memisa.

  1. Profil requis

Education : Diplôme d’Etudes Supérieures (License/Master) en sciences sociales ou tout autre diplôme supérieur équivalent.

Expérience : Expérience de 2 ans au minimum de travail sur l’axe thématique décolonisation en coopération au développement ; de préférence dans le milieu de la santé.

ET

Avoir donné minimum 3 formations/atelier sur la thématique.

Être en mesure de conduire toute la consultance en français ; la connaissance du néerlandais est considérée comme un atout mais elle n’est pas un critère essentiel pour postuler.

  1. Lieu et conditions de travail

En présentiel dans les bureaux de MEMISA à Bruxelles (Square de Meeus 19, Ixelles 1050)

  1. Soumission du dossier

Le dossier de candidature composé d’une lettre de motivation, CV et de l’offre technique et financière doit être déposé avant le 28/07/2023 à minuit par mail aux adresses suivantes : jean.clovis.kalobu@memisa.be ; hilde.buttiens@memisa.be

  1. Critères d’évaluation d’offres

Le.a candidat.e ayant obtenu le meilleur score aux caractéristiques techniques (CV, expérience, méthodologie) et ayant fourni une offre financière détaillée et conforme au budget disponible sera invité pour un entretien.

 

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